VIDÉO

PAROLES

Alors qu’au pied du chêne je passais en peine
En bonne et due forme elle me donna le la
C’est alors me dit-elle qu’on me chante moi
Anitha

C’est répondis je n’ai pas le talent ma muse
De vous rendre hommage en vous soufflant mon émoi
Allons laissez-moi plutôt vous allonger là
Anitha

Sur ma poitrine pour jouer
De vous et me vouer

Aux bienfaits de doux ébats je n’ai pas de veine
Vos courbes en moi peignent un désir bien las
Dites que faites-vous là si ce n’est m’aimer
Anitha

Ça monsieur je ne le peux mirez comme on m’use
Parce que de bois je suis instrument sans foi
Apprenez que je ne suis que votre guitare
Anitha

Sur ma poitrine pour jouer
La saoule à lier

Sur ma poitrine pour jouer
De vous et me vouer

Anitha

CRÉDITS

Visuels : Léa Fery (photographies) et Yoan Gonçalves (logos)
Modèles : Youna Junkiri et Dakota Langlois
Composition : Gabriel Keller
Paroles : Yann Frey
Batterie : Simon Rebuffat
Basse : Jonathan Rivière-Camara
Guitare, percussions et chœurs : Gabriel Keller
Saxophone : Joachim Gimenez
Voix lead : Émilie Béroule
Enregistrements : Gabriel Keller et Émilie Béroule
Mixage : Gabriel Keller et Julie Ciapin
Réalisation et montage : Kévin Durand

REMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier chaleureusement tous les musiciens ayant participé à l’interprétation de ce titre; Simon à la batterie, Jonathan à la basse, Joka au saxo’ et Émilie au chant. Nous saluons l’excellent travail de Léa pour ce visuel sensuel et de Kévin pour avoir sublimé ce dernier. Une grande part de notre reconnaissance est pour à Anitha, sans laquelle cette chanson n’existerait pas. Un immense merci à toutes les personnes qui étaient là pour nous soutenir et nous encourager lorsque nous doutions de la viabilité du projet Hegoa; Émilie, Julie, Charlie, Léa, Julia et tous les autres. Merci enfin à tous ceux qui donneront de leur temps pour nous écouter, nous suivre, nous partager, etc.

Gabriel & Yann

LE MOT DE LA PHOTOGRAPHE

À l’écoute de cette chanson j’ai ressenti une certaine sensualité, une chaleur dans la musique, dans les paroles, comme dans les instruments, les cuivres donnent un son chaleureux, invitant à la danse ou au contact. Tous ces détails sonores m’ont fait aller vers cette image: la chaleur par le rouge et les tissus, le côté charnel et sensuel par un duo un peu dansant, un peu enlaçant, un peu réconfortant, un peu tout ça à la fois.

Léa Fery

LE MOT DU PAROLIER

Anitha est la première chanson que nous tenons à vous offrir, mais il ne s’agit pas de la première qui fut réalisée par le duo. Un jour, Gabriel m’a écrit: « Une nouvelle musique attend des paroles. Vois ce qu’elle t’inspire, je te laisse totalement libre vis à vis du thème. » Dans l’audio que j’ai reçu, la mélodie du chant était réalisée par Anitha, sa partenaire de l’époque tant dans la vie que dans ses créations. Je la connaissais déjà, mais je ne m’attendais pas à l’entendre faire des vocalises pour m’indiquer le rythme que devait suivre le texte. J’ai été surpris et touché par la collaboration du couple qu’ils formaient, si bien que, sans savoir ce que j’allais écrire dans mes couplets et refrains, j’ai posé, comme un hommage, le prénom de cette jeune fille sur le papier. Configuration jusqu’alors inédite dans ma façon de travailler puisque j’avais un titre avant d’avoir le texte! Il a toujours été, pour Gabriel comme pour moi, hors de question d’entrer dans la niaiserie d’une histoire d’amour purement contemplative quant à notre projet. La musique me parlait pourtant d’amour. J’ai donc pris plaisir à détourner cette notion au profit d’une histoire amusante et piquante à la fois. Un homme tombe amoureux de sa guitare et cette dernière le met en garde; elle est inconstante, on ne peut se servir d’elle que pour jouer l’ivresse et la folie.

Yann Frey

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